En attendant des amis à Perros-Guirec, je me suis installée sur un banc, côté esplanade, dos à la mer pour me protéger du vent, le ressac en bruit de fond, et j'ai ouvert mon livre lu "au retrait", "Pour trois couronnes".
Page 101, une phrase a arrêté ma lecture et je l'ai notée sur mon "carnet pour être zen".
Je ne puis que la partager avec vous:
"Et quelqu'un qui lit un aussi gros livre, seul, à l'intérieur, ne peut être absolument mauvais."
Le narrateur est dans un café, à Bourg-Tapage, port d'une île de l'ancien empire colonial français. Il est abordé par un vieux monsieur, en costume-cravate malgré la chaleur, qui a repéré le livre en français.
Illustration: "La liseuse" de Francine Van Hove
2 commentaires:
une bien belle phrase...rebonjour a ton blog et a toiiiii...;)
Merci Rachel et au plaisir de te voir de temps à autre en ces lieux.
En effet, j'ai craqué sur cette phrase et n'ai pu que céder à la tentation du partage.
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